effet de serre : la fonte du permafrost

(actualisé le ) par kriss

L’effet de serre est un phénomène naturel qui permet de garder une température permettant la vie sur Terre alors que sans lui la température serait de -18°C.

Le réchauffement de la planète dû notamment aux rejets par l’homme de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, pourrait en effet connaître, d’ici à la fin du siècle, une fonte dramatique sur les 3 premiers mètres d’épaisseur du sol. Le permafrost, qui existe dans les régions où la température moyenne est de 0 oC, est constitué d’un ensemble de terre, de déchets végétaux et de glace. Il peut atteindre par endroits plusieurs centaines de mètres d’épaisseur et comprend une surface active, épaisse de quelques centimètres à plusieurs mètres, qui fond durant l’été et regèle en hiver. C’est cette partie exposée et fragile qui est aujourd’hui sensible au réchauffement climatique.
Dans le pire des scénarios, si les rejets de CO2 atteignent d’ici cent ans, avec l’apport des pays en voie de développement, un niveau de 810 parties par million (ppm) de gaz carbonique dans l’atmosphère, contre 350 aujourd’hui, la superficie du permafrost pourrait, en 2050, ne plus occuper que 2,5 millions de km² et, en 2100, 1 million de km², contre environ 10.5 millions de km².
De nos jours, de nombreuses constructions sont situées sur le permafrost, la fonte de celui-ci entraînerait des affaissements, des éboulements, des glissements de terrain et des avalanches de roches et de glace.

David Lawrence et Andrew Slater estiment que cette fonte pourrait aussi engendrer des perturbations climatiques au niveau mondial. Selon des estimations certes encore imprécises, le permafrost contiendrait 30 % ou plus de tout le carbone stocké dans les sols de la planète. Avec la fonte, il serait alors relâché en grandes quantités dans l’atmosphère et "pourrait avoir une influence majeure sur le climat", d’après David Lawrence.

En fondant, le permafrost d’un million de kilomètres carrés pourrait en effet libérer dans l’atmosphère des milliards de tonnes de méthane, un gaz à effet de serre. L’un de ces scientifiques estime que ce phénomène était "probablement irréversible et sans aucun doute lié au réchauffement climatique". Toute la région sub-arctique de la Sibérie occidentale a commencé à fondre, a-t-il ajouté, et cela "s’est produit au cours des trois ou quatre dernières années".

L’effet de serre est un phénomène naturel qui permet de garder une température permettant la vie sur Terre alors que sans lui la température serait de -18°C.

Le réchauffement de la planète dû notamment aux rejets par l’homme de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, pourrait en effet connaître, d’ici à la fin du siècle, une fonte dramatique sur les 3 premiers mètres d’épaisseur du sol. Le permafrost, qui existe dans les régions où la température moyenne est de 0 oC, est constitué d’un ensemble de terre, de déchets végétaux et de glace. Il peut atteindre par endroits plusieurs centaines de mètres d’épaisseur et comprend une surface active, épaisse de quelques centimètres à plusieurs mètres, qui fond durant l’été et regèle en hiver. C’est cette partie exposée et fragile qui est aujourd’hui sensible au réchauffement climatique.
Dans le pire des scénarios, si les rejets de CO2 atteignent d’ici cent ans, avec l’apport des pays en voie de développement, un niveau de 810 parties par million (ppm) de gaz carbonique dans l’atmosphère, contre 350 aujourd’hui, la superficie du permafrost pourrait, en 2050, ne plus occuper que 2,5 millions de km² et, en 2100, 1 million de km², contre environ 10.5 millions de km².
De nos jours, de nombreuses constructions sont situées sur le permafrost, la fonte de celui-ci entraînerait des affaissements, des éboulements, des glissements de terrain et des avalanches de roches et de glace.

David Lawrence et Andrew Slater estiment que cette fonte pourrait aussi engendrer des perturbations climatiques au niveau mondial. Selon des estimations certes encore imprécises, le permafrost contiendrait 30 % ou plus de tout le carbone stocké dans les sols de la planète. Avec la fonte, il serait alors relâché en grandes quantités dans l’atmosphère et "pourrait avoir une influence majeure sur le climat", d’après David Lawrence.

En fondant, le permafrost d’un million de kilomètres carrés pourrait en effet libérer dans l’atmosphère des milliards de tonnes de méthane, un gaz à effet de serre. L’un de ces scientifiques estime que ce phénomène était "probablement irréversible et sans aucun doute lié au réchauffement climatique". Toute la région sub-arctique de la Sibérie occidentale a commencé à fondre, a-t-il ajouté, et cela "s’est produit au cours des trois ou quatre dernières années".

L’effet de serre est un phénomène naturel qui permet de garder une température permettant la vie sur Terre alors que sans lui la température serait de -18°C.

Le réchauffement de la planète dû notamment aux rejets par l’homme de gaz à effet de serre dans l’atmosphère, pourrait en effet connaître, d’ici à la fin du siècle, une fonte dramatique sur les 3 premiers mètres d’épaisseur du sol. Le permafrost, qui existe dans les régions où la température moyenne est de 0 oC, est constitué d’un ensemble de terre, de déchets végétaux et de glace. Il peut atteindre par endroits plusieurs centaines de mètres d’épaisseur et comprend une surface active, épaisse de quelques centimètres à plusieurs mètres, qui fond durant l’été et regèle en hiver. C’est cette partie exposée et fragile qui est aujourd’hui sensible au réchauffement climatique.
Dans le pire des scénarios, si les rejets de CO2 atteignent d’ici cent ans, avec l’apport des pays en voie de développement, un niveau de 810 parties par million (ppm) de gaz carbonique dans l’atmosphère, contre 350 aujourd’hui, la superficie du permafrost pourrait, en 2050, ne plus occuper que 2,5 millions de km² et, en 2100, 1 million de km², contre environ 10.5 millions de km².
De nos jours, de nombreuses constructions sont situées sur le permafrost, la fonte de celui-ci entraînerait des affaissements, des éboulements, des glissements de terrain et des avalanches de roches et de glace.

David Lawrence et Andrew Slater estiment que cette fonte pourrait aussi engendrer des perturbations climatiques au niveau mondial. Selon des estimations certes encore imprécises, le permafrost contiendrait 30 % ou plus de tout le carbone stocké dans les sols de la planète. Avec la fonte, il serait alors relâché en grandes quantités dans l’atmosphère et "pourrait avoir une influence majeure sur le climat", d’après David Lawrence.

En fondant, le permafrost d’un million de kilomètres carrés pourrait en effet libérer dans l’atmosphère des milliards de tonnes de méthane, un gaz à effet de serre. L’un de ces scientifiques estime que ce phénomène était "probablement irréversible et sans aucun doute lié au réchauffement climatique". Toute la région sub-arctique de la Sibérie occidentale a commencé à fondre, a-t-il ajouté, et cela "s’est produit au cours des trois ou quatre dernières années".